Humanités numériques

Ces dix dernières années se sont développés de façon exponentielle des projets numériques, sans que soit conçu le rapport entre ces productions, les objets numérisés et les attentes des utilisateurs. À Genève, nous avons développé des projets numériques en veillant à bannir la logique de silos qui interdisait les liens organiques entre contenus identiques mais de supports différents. En réfléchissant aux besoins des utilisateurs, je conçois pour l’instant des projets qui partent d’une analyse de grandes masses de données issues du monde universitaire pour être utilisées par des opérateurs culturels (musées, bibliothèques, centre d’archives).